Les petites duchesses

Une rencontre pour le moins inattendue ce week-end en Chartreuse a enfin déclenché mon déclic : un nouveau-né tout doux et tout blanc, oublié sur l'alpage et découvert par 2 cavalières. Son aventure s'est bien terminée ! Nous avons retrouvé son propriétaire qui est venu le chercher. 

Pas de nouvelles depuis longtemps: mon point d'exclamation te laisse sans déclic! Je relance la correspondance avec une rencontre faite lors d'une cueillette de chanterelles.

Le Café Lumière du cinéma Le Méliès à Grenoble expose un extrait de notre Galerie domestique pendant le mois d’octobre.  Pour cette série de photographies, nous avons exploré notre environnement quotidien. 

Rens. : 06 84 60 59 32 

Cinéma le Méliès – Caserne de Bonne

28, allée Henri Frenay

38000 Grenoble

04 76 47 99 31

Plan d'accès

« La fraîcheur ludo-philosophique de votre correspondance photographique accroche l'œil et l'esprit. Vous  commencez par "En route" et terminez, provisoirement, par "à tout jamais". 
Un programme qui m'enchante ! Je vous remercie chaleureusement de votre participation à faire vivre la bibliothèque en y laissant votre empreinte. » C.V

Ensemble la nature et l'homme ont donné forme à ce paysage  jusqu’à faire surgir un point d’exclamation (à l’envers sur l’image), prouvant ainsi leur propre étonnement !!!

Quelle émotion ! Comment te dire ce que je ressens quand je touche ce fragment de marbre, sculpté par la main de l’homme antique. Cette empreinte d’une civilisation brillante, qui a traversé des millénaires, restera t-elle visible à tout jamais ?

La seconde empreinte n’existe plus aujourd’hui. Elle a été visible le temps d’une photo prise près d’une source dans laquelle la silhouette de Louise s’était reflétée. C’est par la magie de la photographie que cet instant poétique perdure dans ma mémoire.

J’ hésite entre plusieurs photos. Ce qui est sûr c’est que j’ai envie de te répondre sur l’idée de l’empreinte, de la trace que l’on laisse. Exceptionnellement  je t’envoie 2 images. La première, anonyme, est une trace volontaire de mains sur une façade.

Voici une version plus habillée, réalisée par le sculpteur TOMEK KAVIAK, ses jeans sont sculptés dans le bronze ou ciselés dans le marbre. Pour TOMEK "...le jean n'est pas un produit fini, le temps est son couturier. L'empreinte de chaque corps habitera chaque jean et tissera en quelque sorte des plis qui naîtront de leur structure physique. Le jean est presque le livre des corps..."